L’éco-PTZ est devenu plus intéressant pour vos travaux
Une bonne isolation et un système de chauffage performant sont les clés du confort et des économies d’énergie pour votre bien locatif. Depuis plusieurs années et, à côté d’autres dispositifs, l’éco-PTZ (Prêt à Taux Zéro) individuel ou collectif permet de financer des travaux de rénovation sans payer d’intérêts.
Profitez-en ! Plusieurs modalités viennent renforcer l’intérêt de l’éco-PTZ en 2019.
L’éco-PTZ est désormais accessible à plus de logements
Ce prêt est accessible à tous les propriétaires, sans condition de ressources, qui veulent effectuer des travaux d’amélioration de la performance énergétique dans leur bien locatif à usage de résidence principale : isolation des murs et des toitures, pose de doubles vitrages, installation d’équipement de chauffage (ou d’eau chaude) utilisant des énergies renouvelables. Retrouvez la liste des travaux détaillée sur faire.fr.
Il ne s’adressait auparavant qu’aux constructions d’avant 1990. Depuis le 1er juillet 2019, l’éco-PTZ est étendu à tous les logements achevés depuis plus de 2 ans et ouvert aussi aux travaux d’isolation des « planchers bas ».
L’éco-PTZ est ouvert à plus de travaux
Encore récemment, il fallait prévoir un « bouquet de travaux » pour prétendre à ce prêt. Cette condition restrictive est maintenant supprimée depuis le 1er mars 2019. Une seule catégorie de travaux suffit.
Toutefois, le montant du prêt dépend de l’importance des travaux prévus : 10 000 € pour la réalisation d’une seule catégorie de travaux ; 20 000 € pour la réalisation de 2 catégories de travaux ; 30 000 € pour 3 catégories de travaux.
La durée de l’éco-PTZ est allongée
Initialement, l’éco-PTZ prévoyait un remboursement sur 10 ans, exceptionnellement sur 15 ans.
Depuis le 1er juillet 2019, la durée maximale de remboursement est généralisée à 15 ans, quel que soit l’importance ou le nombre des travaux prévus.
Par ailleurs, le délai dans lequel il est possible de demander un complément de prêt est passé à 5 ans (au lieu de 3 auparavant). La limite globale par logement est toujours de 30 000 euros par logement.